pourquoi la suisse est-elle le «champion du monde de brassage»?
En football, nous échouons toujours lamentablement. Pour ce qui est du hockey, nous sommes passés tout près. En ski, nous le sommes. Mais tu savais que nous sommes également «champions du monde de brassage»?!
la voie du titre
En 1990, la Suisse comptait seulement 32 brasseries. L’année dernière, il y en avait 1212. C’est énorme! Aucun autre pays au monde ne compte autant de brasseries par million d’habitants. Le nombre de brasseries en Suisse a vraiment explosé ces dernières années. Est considérée comme telle toute personne ou entité qui brasse plus de 4 hectolitres (400 litres) de bière par an à titre professionnel ou amateur ou qui vend cette bière, quelle qu’en soit la quantité.
Consommation en baisse
La bière est et reste la boisson alcoolisée la plus populaire en Suisse. Toutefois, la consommation par habitant a diminué de plus de 20% au cours des 20 dernières années. Alors qu’en 1990, nous en buvions encore plus de 70 litres par habitant, ce chiffre est aujourd’hui d’un peu moins de 55 litres:
Les Tchèques sont les "champions du monde de la boisson
Les raisons de ce déclin sont l’introduction de la limite d’alcoolémie, l’interdiction de fumer dans les bars et restaurants et la prise de conscience accrue relative à la santé. À l’échelle mondiale, cela ne nous place qu’au 20e rang. Avec plus de 141 litres par habitant, les Tchèques sont les plus grands buveurs de bière.
4. Der Antrunk
Aufgrund der Nase erwarte ich ein vollmundig-fruchtiges, leicht süssliches Bier. Wie gelernt lasse ich es nun über die ganze Zunge fliessen. Und tatsächlich: Sofort reagiert die Zungenspitze auf die leichte Malzsüsse. Aber auch eine leichte Bittere ist erkennbar, was einen perfekten Gegenpol ergibt. Ausserdem erkenne ich ganz wenig Umami, was zusammen mit der dezenten Säure den runden, ausgewogenen Geschmack wunderbar vervollständigt. Die Textur ist prickelnd, vollmundig und samtigweich.
5. Der Nachtrunk
Auch im Nachtrunk überwiegt die Malzsüsse, allerdings wird die Säure etwas deutlicher. Die Nachhaltigkeit ist mittel bis lang – und retronasal kommen wieder die leichten Zitrusnoten zum Vorschein.
Insgesamt wird mir durch die Degustation einmal mehr bewusst, weshalb ich das «Heitere Kloster» so liebe. Es hat einfach alles, was mir an einem Bier schmeckt: Es ist rund und ausgewogen – mit vollmundigem Geschmack und doch mit einem durch die Säure bedingten Trinkfluss, der einfach Freude macht.
hungrig?
Ich selbst kann das «Kloster» bei jeder Gelegenheit trinken. Müsste ich es jedoch zu Essen empfehlen, so würde ich es zu hellem Fleisch servieren: Geflügel, Kalb – aber auch zu Fisch oder nicht allzu rezentem Käse. Und auch einen Fruchtsalat könnte ich mir ganz gut vorstellen dazu. Aber probiert es selbst aus und schreibt mir eure Entdeckungen!
Prost! Euer Remo.
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